Surenchère de gags et d'exotisme dans ce deuxième opus, qui ne prétend pas servir un nouveau plat mais simplement affiner la recette. Plus d'assaisonnement, meilleure cuisson... Hubert est toujours aussi bath.
Exercice périlleux plutôt bien orchestré mais qui ne laisse pas non plus le gout agréable qu'on a connu dans les précédents opus. Il y manque un peu de sang, de la pourriture et beaucoup de liberté d'action.
Il est déjà assez difficile de s'intéresser à un jeu de catch quand on est pas fan alors Legends of Wrestlemania va plus loin. Il ennuie même ceux qui s'en passionnent au départ. Belle performance !
Un assez bon produit qui ne vaut probablement pas encore le coup de se l'offrir si vous avez la vieille version, mais qui satisfiera les non possesseurs d'une console portable. Et puis des gadgets en vrac, plein.
Pour les fans absolus. Si vous désirez toutefois faire une soirée karaoké, il vous faudra trouver d'autres pigeons que les quatre gugusses immortels au milieu desquels le grand Freddie a su faire exploser le feu sacré.
Second volet des tranches de vies loufoques abritées par un bocal tout rond, dessinées par Nicolas Poupon. On rit moins certes, mais on rit et ça suffit.
Cabale est une descente progressive dans un monde dément où les conventions et les certitudes ne sont plus. Un livre qui sait glacer son lecteur.
Clarke sans Midam, c'est à la fois la joie dans la continuité et l'impression que leur univers commun est en train d'user ses dernières ficelles. Il faudrait peut-être renouveler les bases des gags récurrents.
Un seinen médical émettant une critique acerbe sur le milieu hospitalier nippon, c'est tout le défi de Team Medical Dragon !
2009 marque les soixante ans de l'agent OSS 117, alias Hubert Bonisseur de la Bath. 255 livres, 12 films, le personnage est devenu un objet de dérision au moment même où James Bond recommençait à se prendre au sérieux.
Une édition DVD bien vide, mais techniquement irréprochable. Le Blu-Ray se montre mieux fourni, mais toujours en deçà de nos attentes...
Erwin Wagenhofer laisse la parole aux financiers. On écoute. On regarde. On soupire. On pleure. On se met en colère.
Dans la veine de La ligne de front, Larcenet joue un peu la carte de la redite mais s'en tire avec les honneurs. Au dessin, Daniel Casanave assure la cohérence d'un univers doucement absurde.
Superbe titre qui manque toutefois de prétention. Un jeu définitivement ancienne génération, mais on aime. Que dis-je ? On adore, car ça reste frais et que la beauté est cachée à l'intérieur de toute cette folie... ou pas.
Un petit Proyas plutôt frais et efficace, même si au fil du temps, Dark City s'imposera peut-être comme un incident de parcours dans la filmographie de ce sympathique artisan...
Quelques super-vilains franchement nazes, deux-trois choix surprenants sur la vie du héros... L'année 1978 n'a rien d'un cru inoubliable. Le Bouffon Vert fait un retour remarqué, cependant.
- Et nous qui pensions que tu étais normale !!
- Je suis un monstre... je ne mérite pas de vivre avec vous.
- C'est bien vrai ça !
John Woo revient aux affaires pour les besoins d'un film en costume. Un bulletin de santé rafraîchissant pour un cinéaste qui a toujours eu du mal à retrouver la flamboyance de ses oeuvres passées.
Chronique de la série originelle et de sa suite directe pour entrer dans le monde des jeux vidéos par la grande porte, celle de geeks créateurs délirants et à l'hygiène plus que douteuse !