Pour Roald Dahl, fini la chocolaterie : en 1982, l'aliment principal de ce livre pour enfants est... l'être humain lui-même. Heureusement que le Bon Gros Géant ne mange pas de ce pain-là.
Tout dans les mollets, rien dans le cervelet. Le Hulk nouveau est arrivé, et il ne fait pas dans la dentelle. Dommage, la présence d'Edward Norton et Tim Roth laissait espérer un peu plus de substance.
Un livre qui remet la réalité à sa place en lui redonnant ses lettres de noblesse et un peu de panache, s'adaptant à une vision du monde incroyablement fabuleuse et pleine de sens et contre-sens.
Bien avant le Chat potté à épée de Shrek, Marcel Aymé séduisait petits et grands enfants avec ses Contes du chat perché, où la simplicité, l'humour, et le rêve règnent.
Le quatrième tome de cette série de thriller soi-disant alto-médiéval nous berce gentiment par la lenteur de son rythme et le mystère de ses références.
Expérience 3D ébouriffante, la vision de cette production fait plus penser à un tour de manège qu'à une adaptation de Jules Verne. Mais ce dernier n'avait-il pas pour but premier de faire rêver ses lecteurs ?
Véritable hymne à l'imagination et à la fantaisie, L'Histoire sans fin met en scène ce qui constitue l'aboutissement ultime pour tout rêveur qui se respecte : pouvoir se transporter physiquement dans un monde imaginaire que l'on pourrait modeler à l'infini selon son inspiration.
Noah Wyle est Flynn Carson, aventurier télévisé séduisant et sympathique, qui mérite bien qu'on lui accorde autant d'attention qu'à son tonton cinématographique un peu fatigué.
Cette année-là, c'était l'année 1990. Et c'était l'heure de passer le bac pour les héros de ce film drôle et tendre. Une bonne surprise de l'été, avec une distribution intelligente et talentueuse.
Friedberg récidive en parodiant le péplum 300, et nous rappelle également que l'humour est quelque chose de très relatif. D'immensément relatif...
Marc Lévy renoue avec le genre qui l'a fait connaître. Un roman à lire sur la plage.
Tiercé gagnant avec Alary-Alwett-Arleston, pour cette première aventure du marin le plus cool des histoires de Shéhérazade. Sur un thème qui, paradoxalement, sort un peu des sentiers battus en retournant vers un classique, on a droit à 56 pages épatantes.